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Vendredi le 31 Aout 2018 10:26:23 0

Punchlines Présidentielles, élection du 7 octobre 2018 au Cameroun : Serges Espoir Matomba :

Les phrases choc, les piques, les propos coup de poing des candidats ou leurs représentants, les flops, les tops, les chocs, les crocs…Sur le ring de la campagne électorale de la présidentielle du 7 octobre 2018 au Cameroun, avec SMART Magazine. Dans ce numéro du 29 août de Smart Punchlines, les phrases marquantes du passage du candidat du Peuple Uni pour la Rénovation Sociale (PURS) à la présidentielle d’octobre 2018, Serge Espoir Matomba à l’émission La Grande Interview sur Canal 2 le 28 aout dernier.

A l’âge de 17 ans. Matomba lance Espoir LBA, sa première entreprise est créée à l'étranger. BTP. Puis une deuxième entreprise pétrolière. Il devient conseiller de Kumba Yala, président de Guinée Bissau.

Il compte aujourd'hui une dizaine d'entreprises dans le monde. Il joue l'intermédiation avec le président Hugo Chavez pour la vente du pétrole. Le candidat revient d'une visite du Brésil dans le cadre de sa campagne.

 

"J'ai rapporté des entreprises énergétiques
au Cameroun "

 

"Quelque soit la position que l'on occupe, on doit être utile au développement de son pays".

2008, retour du Portugal et installation au Cameroun.

 

"Le jeune Camerounais n'est pas paresseux, il n'a juste pas l'opportunité de travailler, avec les mêmes chances"

 

2010, création de son parti, le Peuple Uni pour la Rénovation Sociale (PURS). Il lance une campagne 'un jeune, un vote'.

 

"Les Camerounais ne sont pas engagés pour des causes. Il ne sert à rien de nous lamenter si nous ne pouvons pas agir pour des causes justes"

 

Le PURS a travaillé pour un bulletin unique, une élection à 2 tours, et la biométrie.

"En 2014, nous avons saisi le chef de l'Etat au sujet de la ratification des accords de partenariat économique. Nous avons fait une grève de la faim, en risquant nos vies. Ce n'était pas un buzz, nous luttions pour cette nation".

"Je ne crée pas des entreprises pour devenir riche. Je crée des entreprises pour permettre au gens d'exceller".

 

"Notre problème au Cameroun c'est que nous avons inversé les priorités"

 

"Je reviens du Nord, quantité de Camerounais ont des problèmes basiques. Nous devons ensemble inverser les priorités pour construire cette nation. Les problèmes d'eau, d'électricité. La refondation du système éducatif..."

 

"La seule année où le Cameroun a investi dans l'éducation, c'était en 1983, avec un peu plus de 3% du PIB. Nous souhaitons porter ce taux à 10%"

 

"Le Cameroun est un paradoxe: un pays de diplômés qui n'arrivent pas à développer le pays"

 

"Pour participer à votre émission, parti de Garoua, j'ai fait 8h pour 260 km vers Ngaoundéré".

 

"Nous n'avons pas à nous endetter pour construire des routes"

 

"Le combat contre la corruption sera mené avec une main ferme. Nous allons transformer la chambre de compte en cour de comptes. La Cobac aura les pleins pouvoir pour agir".

 

"Nous allons créer 5 millions d'emplois et 1 million d'entreprises en 5 ans".

 

"Nous allons accorder à certaines banques des garanties souveraines pour accompagner les entreprises".

 

"Lorsqu'on priorise l'intérêt individuel, on chasse les investisseurs"

 

"Il faut revoir le fichier du contribuable camerounais. On ne connaît pas le nombre de contributeurs. On ne connaît pas le nombre de foyers camerounais. Le recensement de 2005 est un recensement politique".

 

"Nous aurons dans chaque département un hôpital de référence. Dans chaque hôpital se trouvera un officier d'État-civil pour avoir un acte de naissance à la sortie de la maman. À partir de 6 mois chaque enfant aura droit à une carte d'identité. Le système sera informatisé"

 

"Nous devons avoir une traçabilité des investissements. Il y a de nombreuses fuites, il y a des évolutions qui ne sont suffisantes. L'informatisation permettra d'avoir une idée claire des entrées".

 

"Nous allons prioriser la consommation des produits Camerounais 🇨🇲".

 

"80 centres de formation et 24 écoles dans le domaine agricole. Nous allons transformer ces centres et écoles en centre de production" 

 

"Nous allons réinstaurer les cantines dans les établissements scolaires avec une prédominance de produits Camerounais".

 

"Nous allons accompagner les entreprises par an à hauteur de 100 milliards de F CFA".

 

"Les programmes actuels (Pajer U...) sont des couloirs de création de richesses personnelles".

 

"À notre prise du pouvoir nous allons faire des états généraux des finances. Nous pourrons dégager 4000 milliards".

 

" Le profil du Camerounais d'aujourd'hui est celui qui ne fait pas d'effort pour réussir, celui qui fait tout pour être un employé ou un fonctionnaire. On peut avoir le meilleur programme économique aujourd'hui, avec le Camerounais actuel, il va échouer. Les mentalités doivent changer. Il faut retravailler me profil du Camerounais. Nous allons revaloriser les salaires. Notre souci est de voir les Camerounais vivre décemment de leurs salaires"

 

"Nous sommes pour la décentralisation. Il n'y en a pas aujourd'hui sinon dans la constitution. Il faut donner le pouvoir aux régions pour se développer"

 

"Il est important d'impliquer les populations dans la résolution de leurs problèmes".

 

"De l'éducation on construit toute une nation".

 

"Nous avons le taux de diplômés le plus élevé, mais regardez l'état de notre pays. Il faut recréer ce Camerounais prêt à développer sa nation. Apprendre à nos jeunes pourquoi ils doivent travailler pour le Cameroun, pourquoi le développement dépend d'eux, être des hommes d'action, pas seulement critiquer..."

 

"Nous allons dans le secteur de l'éducation revoir l'histoire du Cameroun".

 

"Tout Camerounais sera obligé de parler les langues officielles du Cameroun. Nous ajouterons une langue nationale en accord avec le parlement et la population"

 

"La Finlande a priorisé l'éducation. L'Indonésie aussi".

 

"Le problème c'est la qualité des hommes. Il faut retravailler la mentalité camerounaise".

 

"L'investissement dans l'éducation représente moins de 2% du PIB, nous allons inverser ce taux"

 

"C'est tout un système que nous devons changer. De façon radicale en inversant les priorités".

 

"On a 0,08 médecin par habitant au Cameroun, c'est très grave"

 

"Dans chaque département nous allons créer un hôpital de référence".

 

"Nous allons instituer l'assurance maladie. Par l'économie tertiaire, l'économie des services".

 

"4 milliards par mois de taxes pour les billets d'avions émis au Cameroun".

 

"Nous ne faisons pas de promesses irréalisables. J'ai un carnet d'adresse hyper important dans divers domaines".

 

"Notre politique de santé est avant tout curative et préventive".

 

"Dans mon Gouvernement il y aura une interdiction formelle à tout membre du gouvernement de se faire soigner à l'étranger. Le gouvernement doit donner l'exemple".

 

"Je porte une chemise dérivée du coton Camerounais 🇨🇲".

 

"Les centres de recherche vont travailler sur les produits médicinaux camerounais".

 

"Nous avons besoin de Camerounais lucides pour construire. Des mesures seront prises pour que les bar...la plupart de barmen seront reconvertis. Les bars devront respecter es règles, le nombre de bouteilles par client ".

 

"Le projet politique du PURS a plus de 400 pages".

 

"La culture doit représenter 10% du PIB. La culture est une identité, une source de tourisme".

 

"Nous aurons 58 lycées techniques culturels".

 

"Nous devons partir de nos valeurs culturelles".

 

"Notre projet de société est disponible depuis plus de 3 ans".

 

"La construction ce n'est pas s'opposer (Seulement), mais proposer"

 

"J'ai rencontré un Camerounais au Brésil. Il veut rentrer, mais il ne sait pas quoi faire au Cameroun. Nous allons créer un secrétariat d'État à la diaspora".

" La diaspora participera au développement du pays, nous allons autoriser la double nationalité".

 

"Elecam est composé de Camerounais. Ils ont tout à prouver qu'ils gèrent une institution crédible. Gouverner c'est avoir des priorités. Nous en avons 5".

 

"Chaque cœur qui bat dans la poitrine de chaque Camerounais parlera le 7 octobre prochain". 

 

 

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