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Jeudi le 27 Septembre 2018 16:30:42 0 Africa 24

Punchlines Présidentielles, élection du 7 octobre 2018 au Cameroun : Serge Espoir Matomba : Si on prend l’expérience de ceux qui nous dirigent aujourd’hui, on a envie de se dire autant mieux avoir quelqu’un qui fait ses premiers pas (en politique) que ceux qui sont là

Les phrases choc, les piques, les propos coup de poing des candidats ou leurs représentants, les flops, les tops, les chocs, les crocs…Sur le ring de la campagne électorale de la présidentielle du 7 octobre 2018 au Cameroun, avec SMART Magazine. Le candidat du PURS (Peuple uni pour la rénovation sociale), a accordé une interview le 26 septembre dernier à la chaîne Africa 24. Voici quelques phrases fortes de cet entretien.

''Nous voulons rompre avec ce que nous appelons la continuité avec l’actuel Chef de l’Etat qui jusqu’à présent a uniquement permis au climat sociopolitique de se dégrader de se dégrader considérablement''.
''Je ne suis pas le jeune candidat à cette élection. Deux plus jeunes que moi âgés de 38 ans chacun, sont aussi de la partie''.
''Les Camerounais ont besoin d’autre chose, le climat politique socioéconomique du pays est désastreux et il faut absolument faire remonter la pente au Cameroun''.
''J’ai une expérience de 5 ans en tant qu’élu. En outre, je fais de la politique depuis 10 ans''.
''Je suis un entrepreneur depuis plusieurs années, j’ai créé ma toute première entreprise à l’âge de 17 ans''.
''Depuis 10 ans que nous parcourons les artères du Cameroun, nous avons pu récolter quelque chose de précis, discuté avec ces Camerounais et c’est pour cela que nous avons la meilleure offre pour le Cameroun''.
''La gestion d’un pays est différente de celle d’une entreprise''.
''Avant de rentrer dans a politique au Cameroun, j’ai été conseiller d’un président de la République''.
''Si on prend l’expérience de ceux qui nous dirigent aujourd’hui, on a envie de se dire autant mieux avoir quelqu’un qui fait ses premiers pas (en politique) que ceux qui sont là''.
''Le climat socioéconomique n’est pas favorable à la création d’entreprise''.
''Ce n’est pas la fonction publique qui créera 5 millions d’emploi, ce sera beaucoup plus dans le secteur privé''.
''Nous favoriserons un climat d’affaires propice à tous''.
''Ceux qui se lanceront dans l’entreprenariat et qui pourront mettre sur pied des start Up, PMI/PME qui vont embaucher un minimum de cinq Camerounais pourront bénéficier d’une certaine exonération des taxes durant 3 ans''.
''Présentement l’impôt sur les sociétés au Cameroun est de 30%, nous allons le réduire jusqu’à 10% sur 3 ans''.
''Nous avons négocié avec les banques de la place, en accordant à certaines une garantie souveraine, pour les amener à accorder des crédits aux entrepreneurs et accompagner les entreprises''.
''La gestion d’un Etat est présentée conformément aux priorités''.
''La lutte contre l’extrémisme est une priorité, mais nous n’y injecterons pas tout ce que nous avons comme budget, parce que cette lutte a d’autres solutions qui ne sont pas d’ordre financière''.
''Nous développerons une taxe sur les produits manufacturés''.
''Le Cameroun n’a pas un problème d’argent pour implémenter ses projets''.
''Nous allons accorder une assurance maladie qui sera une prise en charge totale de l’Etat pendant 3 ans''.
''Aucun membre de mon gouvernement ne sera autorisé à aller se soigner à l’étranger avec des fonds publics''.
''Notre responsabilité est de donner aux Camerounais une véritable santé et un accès aux soins sur le territoire national d’abord''.
''Il est important que les fils et les filles du Cameroun dialoguent''.
''Nous invitons chacun à déposer les armes (au sujet de la crise anglophone) et à s’asseoir autour d’une table''.
''Nous sommes non seulement à l’écoute, mais nous apportons des solutions à des problèmes réels''.
''Jusqu’à présent, nous sommes en pour parler avec plusieurs candidats''.
''A cause de l’insatisfaction que l’on rencontre au sein de la population, je doute fort que Monsieur Biya ait 500 mille voix au sortir de cette élection''.
''L’insatisfaction amènera les Camerounais à décider du nouveau visage qu’ils veulent pour le Cameroun''.
 
 
 

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